Alpro soutient l’initiative Sign for my Future, la plus large coalition jamais formée en Belgique qui appelle les pouvoirs publics à mener une politique climatique beaucoup plus ambitieuse après les élections de mai 2019. De commun accord avec un grand groupe d’entreprises de premier plan, la société civile et des citoyens préoccupés, le pionnier des produits végétaux est demandeur d’un plan ambitieux. Alpro souligne de surcroît l’importance de l’alimentation dans le contexte climatique dans son ensemble.
Le 12 décembre 2015, 195 leaders mondiaux ont signé l’accord sur le climat de Paris. Par cet accord, la Belgique, entre autres, s’engage à prendre toutes les mesures nécessaires pour que le réchauffement climatique puisse rester largement sous la barre des 2 degrés. La Belgique doit être neutre en CO2 en 2050. Ceci demande de la part de nos autorités une politique coordonnée, et ce sans délai. C’est au politique de motiver les investissements dans cette transition. Aussi la société Alpro appelle-t-elle les citoyens à co-signer sur www.signformyfuture.be.
« La transition vers une Belgique neutre en CO2 aura un impact sur la manière d’entreprendre. Ces efforts sont nécessaires pour parvenir à un monde meilleur sur le plan de la santé et de la durabilité, deux aspects auxquels Alpro oeuvre depuis 40 ans déjà et qui fait partie de son ADN, » explique Sven Lamote, General Manager / CEO d’Alpro.
Comment Alpro contribue à la lutte contre le changement climatique
Alpro s’est fixé un objectif scientifiquement fondé (‘Science Based Target’) pour la réduction du CO2 depuis de nombreuses années. Cela signifie qu’Alpro réduit ses émissions dans la proportion nécessaire pour limiter à + 2°C le réchauffement climatique. Cela s’applique tant aux émissions causées par l’utilisation de l’énergie dans les usines qu’à une série d’émissions indirectes stratégiques comme les emballages ou la culture du soja.
Alpro est de surcroît une des premières entreprises dans le monde à intégrer le concept ‘One Planet Thinking’ dans sa stratégie d’entreprise. Ce programme scientifique, développé par les organisations de protection de la nature WWF et IUCN*, a pour but de lier l’impact environnemental d’une entreprise et d’un produit à la capacité écologique de notre planète. L’utilisation de l’eau dans la culture des amandes en est un bon exemple. Alpro s’efforce de ne pas utiliser plus d’eau que celle qui est disponible dans un écosystème local sain.
L’alimentation végétale est une partie de la solution
« Dans le débat climatique, l’attention est souvent largement focalisée sur l’énergie et la mobilité. Le rôle de l’alimentation dans l’ensemble de cette problématique devrait toutefois être mieux pris en compte. A chaque fois que nous choisissons ce que nous mangeons et ce que nous buvons, nous votons pour le monde dans lequel nous voulons vivre, » souligne Sven Lamote. Ce que nous mangeons a également un impact sur notre empreinte carbone. La manière dont le monde mange et produit des aliments à l’heure actuelle n’est pas durable et chaque jour qui passe, chacun de nous peut faire un choix conscient de ce qu’il mange ou boit. Pas moins de 30 % de notre empreinte européenne est causée par la production et la consommation de denrées alimentaires.
Le secteur alimentaire a donc un rôle important à jouer. Le rapport EAT-Lancet publié récemment montre qu’un glissement radical vers une alimentation saine et plus végétale, une réduction de moitié du gaspillage alimentaire et des déchets, une amélioration des pratiques et des technologies agricoles sont nécessaires pour pouvoir nourrir durablement 10 milliards de personnes d’ici à 2050. Une ambition à laquelle nous devons commencer à oeuvrer dès aujourd’hui. Une alimentation plus végétale contribue à une utilisation plus efficace des ressources naturelles comme la terre, l’eau et l’énergie.
« L’alimentation saine et durable est au coeur de l’approche des défis actuellement prioritaires des pouvoirs publics. L’alimentation végétale est sans nul doute une partie de la solution. Alpro continuera dès lors à investir dans l’innovation, qui nous permet de protéger tant la santé que notre planète pour les générations à venir, » conclut Sven Lamote.
Contacts presse :
Alpro - Greet Vanderheyden - 0032 473 80 06 55 - greet.vanderheyden@alpro.com
Sign for my Future - Laurien Spruyt - 0032 496 92 50 07 - pers@signformyfuture.be
* International Union for Conservation of Nature